Souvenirs érotiques

Samedi 10 mai 6 10 /05 /Mai 21:32
Prune de Bretagne

(envoyé à la revue " Union " le 11/11/2006)


Hiver 2005. J'étouffe dans ma ville et j'ai des envies d'aventure.
Je prévois un circuit en stop dans le Nord de la France avec des points de chute chez des gens que j'ai rencontrés au cours de voyages précédents.
Je me retrouve donc à Rennes dans la colocation d'une fille que je connais à peine et avec qui j'avais sympathisé.
Pendant les quelques jours que j'y reste il y a beaucoup de passage dans l'appartement. Voilà que pour la première soirée je me retrouve avec trois filles : mon hôtesse, sa colocataire et Prune, une amie à elles.
Je suis très à l'aise. Le fait d'être en voyage me donne des ailes.
Prune m'intrigue. Elle m'amuse avec son rire qui lui fait sautiller les épaules et la tête. Vu que le courant passe bien entre nous quatre, je propose de leur donner un petit cours improvisé de danses folk (une de mes passions). Et voilà qu'on se met à danser par 2 ou à 4 dans le salon déjà bien encombré.
Plus tard je lance l'idée de faire un atelier massage. Comme on change de partenaire, à un moment je me retrouve à masser Prune.
Le contact de sa peau me trouble. Je suis complètement hors du temps, pris de vertige. Son odeur me remplit les narines et tonne dans ma tête. Les quelques centimètres de peau dénudés que je masse, dans sa nuque, sur ses épaules font monter en moi une envie compulsive de la mordre. Comme je ne la connais que depuis quelques minutes et qu'on est en public, j'ai fait en sorte de me calmer...

Plus tard dans la soirée nous restons seulement tous les deux dans le salon et nos corps se mélangent avec rage.
Pendant plusieurs jours on ne se quitte plus, passant le plus clair de notre temps à faire l'amour. On découvre très vite notre goût commun pour la mise en scène et les expériences un peu épicées...


Toujours est-il qu'un soir elle dit vouloir être très tôt à sa fac le lendemain.
Voilà qu'on se retrouve dans sa voiture, sur le parking de l'université, avec l'intention d'y rester pour la nuit.
De caresses poussées en baisers cannibales je me retrouve assis sur la banquette arrière, nu, mon pantalon à mes chevilles et les poignets ligotés derrière la tête.

Prune est à quatre pattes en culotte et me torture de ses lèvres, de sa langue et de ses dents. Elle ne lâche pas mon visage du regard, ne voulant visiblement pas perdre une miette de l'effet qu'elle me fait. Je me sens totalement à sa merci et offert à ses caprices. Une peur soudaine me serre la gorge. Je ne la connais qu'à peine. Si c'est une dangereuse désaxée, elle peux me saigner à mort sans que je puisse rien faire !
Bien que cette idée me me traverse l'esprit que quelques secondes, elle vient renforcer mon excitation.
Je suis fasciné par ses yeux verts lascifs, vissés au fond des miens, fou de désir et un peu effrayé à la fois.
A force de me lécher partout en épiant mes réactions, elle en vient à ma bite.
Elle me fait languir en jouant de sa langue, m'agaçant de petits coups, puis m'enveloppant le gland, le tétant, remplissant sa bouche de salive pour m'exciter davantage. Une déesse de la turlute. Jamais personne ne m'a fait cet effet-là. Elle est terriblement goulue.
Dehors il s'est mis à pleuvoir et les gouttes de pluie se fracassent sur la carrosserie de la voiture en faisant un bruit assourdissant.


Du fond de mon bunker de jouissance il m'a semblé voir une lumière bizarre à travers les vitres de la voiture. Je n'y ai d'abord pas prêté beaucoup d'attention : j'avais mieux à faire.
La queue et l'attention gobées par la bouche de Prune, il me semble pourtant que la lumière se rapproche. Mais je repars aussitôt dans ma rêverie de plaisir.
Prune gémit très fort pendant qu'elle me pompe. On dirait que c'est elle qu'on suce.

Et elle ne cesse jamais de me regarder. C'est merveilleux à ressentir et superbe à voir.
Guettant la lumière suspecte du coin de l'œil, je crie brusquement : " Il y a quelqu'un ! ". Prune se jette en boule sur le sol comme un hérisson et moi je me plie comme je peux, les poignets attachés dans la nuque !
La lumière en question est peut-être la torche du gardien qui fait sa ronde. C'est en tout cas ce que je me dis. Quand je crie il est à deux pas de la voiture. Mais il fait aussitôt fait demi-tour, sans doute à cause de la pluie battante qui sévit dehors et de la buée qui couvre les fenêtres de la voiture. Probable qu'il n'a pas vu grand chose de ce qu'on fait. Ou alors il en aura vu assez.
Après cette grosse émotion Prune se remet à me prendre. Elle n'a pas l'air plus perturbée que ça par ce qui vient de se produire et reprend ses gémissements de plaisir en engloutissant ma tige. Les mouvements simultanées qu'elle fait avec sa main pour me branler sont d'une efficacité telle que je demande si elle ne fait pas ça une grande partie de son temps libre. Elle me fait très vite oublier le gardien.
Immobilisé sur la banquette de sa voiture, les yeux obsédés par son regard vicieux et la queue pistonnée dans sa bouche en fusion, je ne tarde à me répandre contre son palais. Elle avale en gémissant et en me pompant toujours aussi fort.

Ses yeux semblent me dire merci.

Par Sacha N. - Publié dans : Souvenirs érotiques - Communauté : Les récits érotiques
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